Le mot akasha (a-ka-sha) est un mot sanscrit qui signifie “éther” : l’espace omniprésent. Ayant à l’origine le sens de “radiation” ou “brillance”, l’akasha était considéré, dans la philosophie indienne, comme le premier et le plus fondamental des cinq éléments, les autres étant vata (l’air), agni (le feu), ap (l’eau) et prithivi (la terre).
L’akasha réunit les propriétés des cinq éléments ; il est ce dont est issu tout ce que perçoivent nos sens et ce à quoi tout finira par retourner. Les “archives akashiques” constituent le registre permanent de tout ce qui se produit ou s’est jamais produit dans l’univers entier. Erwin Laszlo – Science et Champ Akashique – Ed. Ariane p.V, tome 2.
Cette oeuvre fut pendant 15 années un mystère silencieux ne s’intégrant dans aucun registre de l’art. C’est Régis Dutheil qui a perçu l’immédiateté du processus de réception. En effet, Viviane José Restieau, grâce à un silence recueilli émet un son. Ce son connecte la mémoire universelle qui va redescendre en particules lumière de plus en plus densifiées jusqu’à rentrer en résonance avec son corps vibratoire cellulaire.
Un temps d’écoute… silence. Les deux mains ouvertes au ciel… et le processus de créativité s’enclenche spontanément en déposant sur son support noir “univers” les pigments de couleur choisis intuitivement qui s’inscriront dans une danse gestuelle rythmée sur l’inspir-expir, à l’écoute, sans construction mentale, dans une attitude tout à fait naturelle, au rythme structuré de l’instinct de vie.
Avec Viviane José Restieau, nous pénétrons dans des symphonies de champs vibratoires qui nous réunifient avec notre intériorité dans un monde en pleine mutation. L’Être se retrouve ainsi en harmonie avec lui-même et son environnement face aux événements qui jalonnent notre quotidien et en contact avec l’infinie beauté de la vie universelle dans ses aspects les plus subtils.